As the world awaits for the onslaught of the swine flu [porcine flu, aka A(H1N1)], there are going to be evident winners and losers. The losers? Basically all of us: consumers, society at large and business (especially with poor cash flow), if the epidemic does come home to roost. There will also be profiteers. While hospitals and pharmacies risk a deluge, the pharmaceutical companies with anti-flu medicine are bound to benefit enormously and, some say, they are behind the summer media frenzy. In the likely panic and fear-mongering that will lead up to the ‘Flu Fall, consumers will surge to buy extra tissues, hygienic towelettes (wet wipes), alcohol-based gels or sanitizers and face masks. BTW I note that Fushi-Protective has bought premium space on Google and advertises in broken English (Chinese company): “specializing in face mask prevent from swine flu.” Frankly, improving people’s personal hygiene — even making acceptable in the Western world the wearing of a face mask as we see in Asia — will be a win for society. Cleaning our hands more regularly would be a good habit to inculcate. Buying internal filtering systems that “clean” up the air inside is another interesting avenue, albeit one that provides also provides a long-term benefit (a player in this area I have come across is called AirSur, which can provide allergy-free air at home).
But, beyond the health-related plays, the one area for which the swine flu could be a super boon is distance learning. Imagine the situation: schools being closed down for long stretches, for example 12 weeks, as France’s Education Minister, Luc Chatel, has just announced as a possible measure for the upcoming bout with the potential epidemic. Schools should be getting themselves prepared to turn their courses into proper distance learning or eLearning — not just a rebroadcast of filmed lectures, but up-to-date e-pedagogy based on the exceptional possibilities that internet provides. This is a great opportunity to modernize, if not revolutionize, the education institutions — especially those that have been reluctant to move forward with technologies. The students we know will be willing. The question is whether the schools — and their teachers — will be nimble enough to react.
In the same vein, but only because I happened to be based in Paris this year, I think of distance learning as a great way to get around strikes and scam manifestations such as we experienced in several higher institutions in France (e.g. Sorbonne Paris IV, Toulouse-II Le Mirail, Aix-Marseille-I, Amiens, Caen, Nancy-II and Reims…). For the teachers and students who were forced to stay at home by a small contingent of indignant ‘revolting’ students, courses should have been available over the ‘net.
Lastly, the trend of reducing business travel (budget cuts under the guise of green fingers) and “congregation” meetings may also continue, since such meetings will only promote further contagion. Another area that is bound to benefit is thus video-conferencing and distance meetings and webinars.
So, the swine flu may be a nightmare about to happen, but I see that there may yet be positive results in the long-term, including improving our hygiene habits, reducing carbon footprints and, possibly, generalising the practice of eLearning.
Your reactions are welcome!
Hello,
c'est drôle c'était en substance un de mes twitts de la semaine, quand j'ai entendu que le e-learning allait peut être entrer dans les écoles françaises.
Un mal pour un bien disais-je…
J'ai travaillé en un temps dans une entreprise de téléconférence qui faisait le même pari. A chaque fois qu'il se passait un drâme dans l'aéronautique, cela provoquait une désertion des cadres pour les compagnies aériennes, et cela augmentait le nombre de visioconférence et téléconférence.
La crise financière, le prix du pétrole, la pandémie H1N1, l'empreinte écologique, sont autant de facteurs en effet qui devraient peser pour le choix des nouvelles technologies dans le domaine des réunions, de l'éducation (y compris la formation professionnelle).
Mais le changement d'état d'esprit n'est pas encore là de la part de ceux qui ont eu l'occasion de beaucoup voyager. C'est presque considéré comme un privilège dans les grands groupes, et on le sait, chacun lutte pour conserver ses privilèges.
Quoiqu'il en soit les générations suivantes (Y et digital natives) ont appris en ligne, à titre personnel, en constatant un retard de l'éducation nationale. Ces générations chercheront forcément des entreprises qui leurs apportent ce genre de services dignes du 21ème siècle. Le changement de paradigme est en marche !
Cela ressemble à un bon thème pour un dîner 😉
It is really a funny game some how, because according to many doctors it won't be more disastress than the other flues we have had
But on your point about Education like for many other breakthroughs there always needs a good or wrong excuse to push the habits away and let new habits in
I must say I believe this is far fetched but it will be part of what will change the habits in learning
But doesn't it push individuals into to more individual lives with no human touch, no group "adrénaline"…DO we really learn to speak Sapnish by avoiding microbic contacts and getting in direct confrontation with Spaniards
Being in that configuration, whatever my will to learn, I know it will come when I am under the pressure of reality
To be followed because for me the subject is about creating the MOVE for Change with the wrong reasons…
En m'inscrivant au cycles de conférences de vulgarisation astronomique "l'Histoire de l'Univers" au Département de l'Éducation permanente de l'Université de Montréal par Hubert Reeves, j'ai découvert l'immense plaisir et efficacité du Distance Learning.
Apprendre à distance est plus courant au Québec, au Canada de façon générale qu'en France. Les distances, le climat et la culture américaine sont plus propices à la formation à distance. Pourquoi perdre du temps, de l’énergie, de l’argent à aller dans une salle de cours quand on peut étudier où on veut et quand on veut en cliquant sur un écran d'ordinateur, combiné avec une télévision. C’est bien plus de productivité, et de confort.
J'ai suivi les cours avec assiduité, ce qui signifie le cours magistral diffusé sur Canal Savoir Québec et les textes a étudier disponibles sur internet. Je me suis inscrite en tant qu’” étudiant libre". L’expérience a été si réussie que je me suis inscrite également à un cours de théologie offert par l’université de Laval. Après l’espace, rien de plus naturel que Dieu. D’ailleurs le dernier cours d’Hubert Reeves conclue sur la question de l’existence de Dieu. L’univers de la Bible, Jean Claude Filteau, de l’université de Laval est accrédité. J’avais donc la possibilité de passer un examen pour gagner les crédits amenant à un diplôme.
On va contester que je n’avais aucune interaction avec les autres étudiants, ni avec le professeur, que j'étais passive devant un écran.
Mais cet écran m’offrait un professeur expert rarement disponible, des textes, des explications, du visuel, de la musique, des vidéos, du web, en somme du multimédia, donc du multi-sensoriel, une chance supplémentaire de comprendre et de m’en souvenir. Je suis d’accord avec Eric Blot, si le système d’éducation traditionnel ne donne pas de bons résultats, les opportunités de connaissances sont immenses avec les nouvelles technologies.
L’interaction est certes plus limitée que dans un cours traditionnel dans une salle avec des élèves. Il est clair qu’Hubert Reeves n’était pas disponible, ni Jean Claude Filteau (professeur retraité). En revanche l’essentiel des questions étaient soulevées dans les chapitres.
Je remercie ceux et celles qui ont eu l'initiative de lancer les cours à distance et de convaincre des esprits prolifiques et lumineux d'organiser leur pensée et l’offrir librement et gratuitement. C’est une occasion formidable pour nous d’apprendre, bien plus qu’en lisant un livre. Car c’est de la formation, de l’apprentissage avec le principe de la répétition de l’avancée progressive dans la difficulté, avec les tests d’évaluation des connaissances Hubert Reeves comme Jean Pierre Filteau et son collègue Pierre Rene Côté ont une vraie pédagogie sur des sujets si ambitieux et si complexes comme les astres et Dieu.
Devant mon écran en travail de formation et d’études à distance, je ne suis pas passive comme je peux l’être devant la télé, je clique, je lis, je choisis, je compare, je suis testée. Certes, il faut de la volonté pour en tirer le meilleur parti, car il n’y pas d’effet de groupe, pas de copains et de copines qui vous poussent à aller en cours, à préparer les tests ensemble. Il n’y a pas de comparaison, ni de compétition avec les autres. Il y a de l’ambition. C’est de la responsabilité individuelle. A un certain âge, avec une certaine expérience, par conséquent chez les adultes, la formation à distance, ça marche. Grâce aux nouvelles technologies ça court sur de grande distance.
If the subject is centered on Education and New Technologies, I can only share the excitement of those that have found through distance learning KEYS & STREAMLINES to access and master on their own contents processes on any subject should they be scientific, cultural or spiritual
I shall develop a few examples of that in my next post so watch out for the next post here…
But aren't the pigs and the viruses "extra" ordinary reasons to push these new ways of learning.
"Doing the right move for the wrong reason" is becoming a norm and that is a subject…
It would be q good thing for leqrning if hte nqtionql educqtion uses something else than broadcast FOr what I got from the news ( I only have access to France 2 in Helsink), it seems to be static. TV programmes alone will not change pedagogy; they need to use the internet and socila networking as well.
Moreover, what if the pandemic does not come Does it mean that they will put away the wrk they developped?
To be positive, though, it could be a nce kick for e-learning in France, but mostly to change the relationship between the teachers and the learners.
I agree 200% with it. We have already sold many webconferencing solutions in French universities that they use for group work or students who work part time and cannot go to the university easily. The e-learning content is a tougher nut to crack because … it’s expensive. French universities have little money so they don’t invest in good quality content development, and they play around with “enhanced PowerPoint” modules, when it’s not plain pdf on line. In emerging countries governments are investing 100s of millions to develop education content … because for them it’s vital, they don’t have the existing infrastructure.
Now the thing is, when I work from home, using a webconferencing tool to interact with customers and colleagues, I don’t feel the need to shower before I talk (I know, French are really dirty) so hygiene increase and distance communication may be antagonist.